#54 "Finira bien qui finira le dernier", la Diagonale des Fous de Jean-Yves Baron

#54 « Finira bien qui finira le dernier », la Diagonale des Fous de Jean-Yves Baron

À propos de l'épisode

Et si on ne parlait pas que des premiers ?

La Diagonale des Fous est un monument de l’ultra-trail. Bien plus qu’une course, c’est une expérience de vie qui marque durablement chacun de celles et ceux qui ont pu en prendre le départ.

Cette Diagonale des Fous, les élites la courent en une grosse vingtaine d’heures et c’est souvent l’image que l’on en voit. 

Il existe une autre réalité : celle de coureuses et coureurs qui passent 3 nuits dehors pour boucler en 66 heures, à bout de force, cette course aussi fascinante qu’elle est extraordinairement exigeante.

Chez Course Epique, j’aime à partager avec vous toutes les belles histoires qui font la course à pied. Celles des premiers mais aussi celles de ceux qui ont été, ce jour-là, en milieu ou en toute fin de peloton.

Jean-Yves Baron acclamé par la foule, et notamment les vainqueurs François d'Haene et Benoit Girondel, à son arrivée au Stade de la Redoute.
Jean-Yves Baron acclamé par la foule, et notamment les vainqueurs François d’Haene et Benoit Girondel, à son arrivée au Stade de la Redoute.
Une course où rien ne s’est passé comme prévu

Coureur aguerri avec notamment 3 UTMB à son actif, Jean-Yves Baron s’est lancé sur la Diag 2018, l’esprit rempli de rêves et le cœur chargé d’émotions.

Jean-Yves a été le dernier à rallier le Stade de la Redoute lors de cette édition. Vous allez l’entendre, il a vécu ce qu’une course à de plus intense à offrir : des situations inattendues souvent, rocambolesques parfois, dangereuses d’autres fois… avec un combat intense au fil des kilomètres pour ne pas céder aux sirènes de l’abandon.

La Diag avait décidé de faire passer cette année-là Jean-Yves par toutes les émotions en lui faisant vivre aussi, à l’autre bout du spectre, des sensations exaltantes, inouïes, flirtant même parfois avec le surréaliste.

Comme si après toutes ces souffrances et difficultés préliminaires que la Diag avait dressées sur son chemin, Jean-Yves avait gagné le droit de vivre ces moments de joie ultime et littéralement hors du commun, à compter des derniers kilomètres de la course. 

Un juste retour des choses, très probablement, que Jean-Yves nous partage avec beaucoup de recul, de sagesse et d’émotions, encore très présentes, 3 ans après.

Mais je ne vous en dis pas plus, Jean-Yves va vous raconter tout ça bien mieux que moi.

Bienvenue dans notre nouvel épisode de Course Epique : “Finira bien qui finira le dernier”.

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